Refleurissez toujours, les matins des dimanches, – De bouquets gracieux, – Aux bords de nos chemins, tant de chapelles blanches, – Qu’aimèrent vos aïeux ! (Paul Ereve)
Refleurissez toujours, les matins des dimanches, – De bouquets gracieux, – Aux bords de nos chemins, tant de chapelles blanches, – Qu’aimèrent vos aïeux ! (Paul Ereve)