Sans remuer ils se tiendront, – Jusqu’à l’heure mélancolique, – Où, poussant le soleil oblique, – Les ténèbres s’établiront (Charles Baudelaire)
Sans remuer ils se tiendront, – Jusqu’à l’heure mélancolique, – Où, poussant le soleil oblique, – Les ténèbres s’établiront (Charles Baudelaire)
Je voudrais être un arbre, boire à l’eau des orages, – Pour nourrir la terre, être ami des oiseaux, – Et puis avoir la tête si haut dans les nuages, – Pour qu’aucun homme ne puisse y planter un drapeau (Renaud)
Pas une fumée, pas un bruit. Rien que le cri des émouchets qui planent et tournoient (Jérome et Jean Tharaud)
La chouette? Chuinte. La hulotte? Hôle.
Observation exceptionnelle ! ‘Le froid intense que connaît actuellement notre pays a invité cet Aigle de mer (1). Je l’ai photographié ce samedi 4 février 2012 au-dessus du Trou Margot à Genval. Il était ‘escorté’ par des Corneilles et une Pie. En fait, les rapaces (Buses, Eperviers, Faucons) sont chassés par les Corvidés … c’est une question de territoire’ (Gilbert Nauwelaers).
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(1) Son aire de répartition s’étend au Groenland, au nord de l’Europe et en Sibérie. Il prélève surtout le gibier d’eau : oies, foulques, canards etc… mais il est surtout friand de poissons. Plus d’infos sur www.oiseaux.net.
Chantez, chantez, oiseaux, à la fange rebelles, – Du poids fatal les seuls vainqueurs ! - A vous la liberté, le ciel ! à vous les ailes, - Qui font vibrer les voix aussi haut que les coeurs ! (René François Sully-Prudhomme)
Essaye d’ouvrir encore tes yeux, – et de fondre à tout ce bleu, – le cœur léger, tu vas planer, – comme un oiseau … en liberté! (Mireille Mathieu)
Ecoute mon ami, – Ecoute dans le vent, – Ecoute, la réponse dans le vent (Bob Dylan)
Sur les ailes du temps la tristesse s’envole (Jean de La Fontaine)
Lentement, les ailes déployées, – Lentement, je le vis tournoyer, – Près de moi, dans un bruissement d’ailes, – Comme tombé du ciel, – L’oiseau vint se poser (Barbara)