Tout est muet, l’oiseau ne jette plus ses cris, – La morne plaine est blanche au loin sous le ciel gris (Guy de Maupassant)
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Lac de Genval
C’est le plus beau pays du monde, – Quand il neige sur mon pays ! (Albert Lozeau)
La Lasne
Ma vallée, je la préfère, c’est là que reposent mes fils, c’est là qu’ondule ma rivière, romane et brabançonne (Françoise Humblet-Vieujant)
Lac de Genval
La brume froide drape l’eau glacée offrant de légers crissements cristallins sous le ciel blanc
Le colombier
Après avoir en grand courrier voyagé pour chercher un sage, J’ai regagné mon colombier (Voltaire)
Lac de Genval
Il faut donc mettre des contrastes dans les attitudes, surtout dans les ouvrages de sculpture, qui, naturellement froide, ne peut mettre de feu que par la force du contraste et de la situation (Montesquieu)
Chemin du Belloy
Avec ses champs, ses bois, ses vallons, ses clochers ! – Chaque région nouvelle, – Nous fait, soudain, découvrir des trésors cachés ! (Marcelle Bordas)
Héron
Le séjour dans l’eau ne transforme pas un tronc d’arbre en crocodile (Seydou Badian)
Lac de Genval
Ciel fantasque, où, sur le fin bleu pers, les nuages affairés couraient (Romain Rolland)
Rue de Genval
Que vienne l’été ! que vienne encore, – L’automne et l’hiver ! Et chaque saison, – Me sera charmante, ô Toi que décore, – Cette fantaisie et cette raison ! (Paul Verlaine)
Chemin du Belloy
Et quand la chute en or des feuillages effleure, – Larmes ! ses murs flétris et ses pignons usés, – La ferme croit sentir ses lointains trépassés, – Qui doucement se rapprochent d’elle, à cette heure, – Et pleurent (Emile Verhaeren).
Vallée de la Lasne
Il faut descendre encore, enfoncer jusqu’aux chevilles dans la prairie d’où il arrache ses pieds avec un bruit de ventouse (François Mauriac)
Nébuleuse de l’étoile flamboyante
Au milieu des ténèbres, la plus humble veilleuse brille comme un phare (Emile Gaboriau)
Il s’agit de la nébuleuse de l’étoile flamboyante. L’étoile la plus brillante au centre (AE Aurigae) est à peine perceptible à l’oeil nu mais il s’agit en réalité d’une étoile très brillante qui illumine toute la nébuleuse sur la photo (Simon-Pierre Gorza).
Lac de Genval
L’éloignement du monde infuse dans l’air pur, – Un subtil aromate, – On écoute en son cœur, près de l’eau, sous l’azur, – Chanter une sonate (Alphonse Beauregard)
Lac de Genval
Et si l’un de nous deux tombe, – L’arbre de nos vies, – Nous gardera loin de l’ombre, – Entre ciel et fruit (Maurane)
Avenue du Lac
Arbres, – Des générations d’hommes naissent et disparaissent pendant votre vie , – Vous êtes la sagesse face à la folie, – La durée devant l’éphémère, – Le stable devant le passager (Gilles Servat)
Univers-île
Il vaut mieux voir les choses de loin. Au coeur du tourbillon, on ne peut mesurer l’étendue de la tempête (Michelle Guérin)
La galaxie d’Andromède est la seule visible à l’œil nu depuis l’hémisphère nord sous un bon ciel. Cela en fait l’objet le plus lointain de l’Univers visible sans instrument. Depuis Rixensart, au minimum une paire de jumelles est nécessaire aujourd’hui pour pouvoir la distinguer du fond du ciel clair en raison de la pollution lumineuse (Simon-Pierre Gorza).
Le Normandy
Le souvenir qu’on vous porte vaut mieux que le présent lui même (Proverbe malgache)
Lac de Genval
La banlieue en automne est un miroir secret, – Qu’il faut longtemps polir et de mince reflet, – Mais qu’un peu d’amitié touche son eau fermée, – II n’est rien de si beau dans la plus belle année (Odilon-Jean Périer)
Moineau
La parole n’est pas un moineau ; une fois envolée tu ne la rattraperas plus (Proverbe russe)
Avenue Herbert Hoover
Le temps peut causer de grands ravages, multiplier les ruines, anéantir les splendeurs architecturales, jamais il ne parviendra à détruire chez l’homme, quel que soit son âge, la conscience du beau (Adrienne Maillet)
Foulque macroule
Le plus difficile dans la photographie est de rester simple (Anne Geddes)
Coquelicot
Ses lèvres ont reçu du doux coquelicot, – Son rouge orangé comme cadeau, – Voilà pourquoi, oui, pourquoi, – Mes amis, chaque jour, – Je vis dans un jardin d’amour (Johnny Halliday)
Promenade Paul Harris
Repousse l’obscurité et déplace-toi librement dans la lumière (Proverbe touareg)
Lac de Genval
Vaisseaux immobiles, ancrés dans les ports du soir (Géo Libbrecht)
Lac de Genval
Et voyant comme l’eau roule sans retenue, – Vers l’immense bassin d’où sa source est venue, – Que ni l’abri des bois, ni le vert de ses bords, – Ni des guérets voisins les jaunissants trésors, – Ni même les palais qui couronnent sa rive, – Ne peuvent un moment la retenir captive, – Qu’elle coule toujours et va sans s’arrêter, – Tant que son poids la peut par sa pente porter (Pierre Lemoyne)
Prairies inondables du Coucou
Il faut boire l’eau en pensant à sa source (Proverbe chinois)
Chapelle Sainte-Anne
Refleurissez toujours, les matins des dimanches, – De bouquets gracieux, – Aux bords de nos chemins, tant de chapelles blanches, – Qu’aimèrent vos aïeux ! (Paul Ereve)
Lac de Genval
Quand on est là-haut, – Perdus aux creux des nuages, – On regarde en bas pour voir, – Son amour qui nage (Juliette Gréco)
Promenade Paul Harris
Au long de promenoirs qui dominent la nuit, – De lentes femmes, – En deuil immense de leur âme, – Entrecroisent leurs pas sans bruit (Emile Verhaeren)