Dans le p’tit square de mes amours, – Un petit banc, chaque jour, – Me rappelle notre rencontre, – Notre toute première étreinte, – Premiers baisers angoissés, – Que nous avons échangés (Jeanne Moreau)
Catégorie : GEETS Fabian
Avenue du Touquet
Une fleur n’est belle que sur son arbre (Lao She)
Sentier Chapelle Robert
Tournis
Avenue des Sorbiers
Illusions, illusions, qui s’en vont, – Que l’on veut garder, – Et qui restent à l’horizon, – Disparaissent comme des bulles, – Quand le vent soufflera… (Pierre Rapsat)
Rue des Bleuets
Symphonie en blanc majeur (Théophile Gautier)
Sentier du Rossignol
Voir la blessure, – Oblique et dure, – Du temps, obstinément (Mylène Farmer)
Parc communal
Le vent balance, – Les ramilles, et par moments, – Interrompt le profond silence, – Qui plane sur les bois dormants (Louis-Honoré Fréchette)
Sentier du Pèlerin
Au fond du fond du fond du fond (Robert Charlebois)
Avenue Royale
Alors, – Les grand’routes, dès le matin, s’en vont d’accord, – Sous les rameaux et les ombrages, – Vers les prés et les eaux, les bourgs et les villages ; – Et sans fatigue et sans repos, – Elles longent le mur ou le fossé des clos ; – Elles se haussent et s’inclinent, – Selon la courbe lente ou brusque des collines (Emile Verhaeren)
Ligne 161
J’attends le soleil, – Le lever du soleil (Pierre Rapsat)
Etang Gillet
On respire en ces bois sombres, majestueux, – Je ne sais quoi d’auguste et de religieux: – C’est sans doute l’aspect de ces lieux de mystère, – C’est leur profond silence et leur paix solitaire (Antoine-Marin Lemierre)
Champignons
Quand le chasseur rentre avec des champignons, on ne lui demande pas des nouvelles de sa chasse (Proverbe ashanti)
Avenue des Sorbiers
L’imagination introduit l’étrange dans le quotidien, le rêve dans la réalité, l’inattendu dans l’évidence (Fernando Arrabal)