J’ai vu ce sage heureux ; dans ses belles demeures, – J’ai goûté l’hospitalité, – A l’ombre du jardin que ses mains ont planté, – Aux doux sons de sa lyre il endormait les heures, – En chantant sa félicité (Alphonse de Lamartine)
J’ai vu ce sage heureux ; dans ses belles demeures, – J’ai goûté l’hospitalité, – A l’ombre du jardin que ses mains ont planté, – Aux doux sons de sa lyre il endormait les heures, – En chantant sa félicité (Alphonse de Lamartine)