Quand revient l’été superbe, – Je m’en vais au bois tout seul, – Je m’étends dans la grande herbe, – Perdu dans ce vert linceul (Gérard de Nerval)
Mois : juin 2017
Batracien
Printemps, printemps, le crapaud rayonne, – Se mirant dans une flaque d’eau, – Il se trouve très beau (Jean-Paul Mauric)
Champ de Woo
Il me fallait revoir, au milieu de la plaine, – Ou sur le penchant du coteau, – Le laboureur qui rêve à la moisson prochaine, – En ouvrant un sillon nouveau (Léon-Pamphile Le May)
Chapelle Saint-Roch
Quand tout là-bas, au Bourg, - Pour fêter saint Roch, ronfle le tambour, – Les hameaux voisins se pressent vers elle, – Pour voir défiler le grand tour (Jules Sottiaux)
La Hulpe vue du Vieux Chemin de l’Helpe
Sous le dôme infini du ciel silencieux (Camille Caudron)
Lac de Genval
Les nuages, pareils aux cimes enneigées, – N’ont aucune attache, nuées sans fils, – Parfois si immobiles, parfois si mobiles, – Impressionnantes masses, en échappées (Nashmia Noormohamed)
Avenue du Lac
Demander à un écrivain ce qu’il pense des critiques, c’est demander à un réverbère ce qu’il pense des chiens (John Osbourne)
Grèbe huppé
La plus grande des séductions, c’est peut-être d’être aimé ! (Laure Saint Martin Pernon)
Ecole communale de Rosières
L’art est la manière de mettre les choses en ordre, à leur place, à leur mesure (Le Corbusier)
Château du Héron
J’ai ouvert la porte, – Et je suis parti, – Le vent m’emporte, – Vers d’autres pays (Erik Montry)
Coquelicot
Au bout du chemin / Il fredonne malgré lui / « A demain, la vie ! » (Eric de Séjournet)
Jean Vanderbecken
Le deuil général ne peut être fait que de la mise en commun de tous les deuils particuliers (André Gide)
Photo de feu Jean Vanderbecken, bourgmestre de Rixensart, prise le 21 juillet 2011 par Monique D’haeyere.
Ruisseau du Château
Les voix ressemblent aux cours des fleuves et des rivières, – Elles répondent aux méandres, au vent dans les roseaux, – Parfois même aux torrents qui charrient du tonnerre, – En polissant les pierres sur le bord des ruisseaux (Yves Duteil)
Château de Rixensart
Je t’aime au fond des bois, je t’aime, – Dans un château du dix-huitième, – J’ai préparé un grand dîner, – Et des musiciens pour danser (Alain Turban)
Alexandre, à 6 ans
Grande Marguerite
Un peu beaucoup à la folie passionnément …
Avenue des Pâquerettes
Escorté de grands vols d’oiseaux, – Emporte-moi, mon cerf-volant ! – Emporte moi haut dans le vent ! (Maurice Carême)
Vanneau
Laissez pleurer les orages, – Laissez danser les nuages, – Les vanneaux sont en voyage (Pierre Groscolas)
Bergeronette
Les belles plumes font les beaux oiseaux (Bonaventure des Périers)