Redécouvrir le plaisir d’apprendre
Redécouvrir le plaisir d’apprendre
Dos qui casse à force de creuser des trous, – Le maître a le maïs et l’esclave le bambou, – Le soleil est si chaud qu’il t’a marqué le cou, – Tu vis courbé mais tu chantes debout (Nana Mouskouri)
La maison d’un homme est son château (Edward Coke)
C’est une cabane au creux des bois, – Une vieille chanson d’autrefois (Kent)
Egayant de leurs ailes blanches, – Les toits qui penchent, – Les cigognes sont de retour, – Avec le soleil des beaux jours, – Amis, chantons la ritournelle, – La vie est belle, chantons l’amour (Lina Margy)
Punk attitude
Vers le large …
Il était une fois, dans le Grand Cortil, un jeune castor espiègle et insouciant …
Il y a des rivières heureuses, dont le cours silencieux n’est troublé que d’un seul hoquet, un sanglot d’eau qui marque la place d’un caillou immergé (Colette)
L’étang reflète, – Profond miroir, – La silhouette du saule noir (Paul Verlaine)
Le soir quand tu t’élances à perdre haleine, – On ne voit plus de toi qu’un éclair blanc, – Quand ta crinière flotte dans la plaine, – Ton cri sauvage se perd dans le vent (Les Collégiennes de la Chanson)
Tu ressembles parfois à ces beaux horizons, – Qu’allument les soleils des brumeuses saisons, – Comme tu resplendis, paysage mouillé, – Qu’enflamment les rayons tombant d’un ciel brouillé ! (Léo Ferré)
Lentement s’évaporent, – Nos rêves les plus forts, – Et planent les images, – Au loin comme un mirage (Gold)
Première sortie
Belles, belles, belles comme … (Claude François)
Lorsque le jour se lève c’est un autre rêve qui commence, et à chaque jour succède un jour plus clair, à chaque éblouissement un nouvel éblouissement (Louis Gauthier)
Ce tout petit train il est là tout près pas loin, – Pas dans les vitrines, pas dans les magasins, – Et si tu veux l’acheter, – Il s’envole en fumée (La Bande à Basile)
Lucie, à 10 ans
Cambrousse
Je voudrais être un feu d’artifice pour éclater aux yeux de Dieu (Anthony Dacheville)
Se dépasser, prendre sa volonté comme tremplin, pour toujours sauter plus haut (Lucien Febvre)
Et à chaque arbre tombé, – Tombe l’oiseau qui le faisait chanter (Gilbert Bécaud)
Sur un même arbre ne poussent jamais deux sortes de fleurs (Proverbe chinois)
L’hiver en vert, l’arbre se rhabille de vert
Pour être heureux, il suffit d’être deux (Charles Trenet)
En habits de parade
Il n’est en art qu’une chose qui vaille : celle qu’on ne peut expliquer (Georges Braque)
Et devant l’ombre si clair j’ai salué la lumière (Frédéric François)
Lucie, à 10 ans
Dans la nature, rien n’est parfait et tout est parfait : un arbre peut être tordu et ses branches tourmentées, il est toujours beau (Alice Walker)