Qui mire aux grands bassins sa langueur infinie, – Et laisse, sur l’eau morte où la fauve agonie, – Des feuilles erre au vent et creuse un froid sillon, – Se traîner le soleil jaune d’un long rayon (Stéphane Malarmé)
Qui mire aux grands bassins sa langueur infinie, – Et laisse, sur l’eau morte où la fauve agonie, – Des feuilles erre au vent et creuse un froid sillon, – Se traîner le soleil jaune d’un long rayon (Stéphane Malarmé)