Et les douces paroles, heureuses et sacrées, – Qu’en ces ténébreux bosquets l’Amour a murmurées, – Sa résonance d’or emplit encore les cieux, – Il faut prêter l’oreille à son chant mystérieux (Charles van Lerberghe)
Et les douces paroles, heureuses et sacrées, – Qu’en ces ténébreux bosquets l’Amour a murmurées, – Sa résonance d’or emplit encore les cieux, – Il faut prêter l’oreille à son chant mystérieux (Charles van Lerberghe)