If adhésif, over réactif, – If exclusif et trop émotif (Etienne Daho)
If adhésif, over réactif, – If exclusif et trop émotif (Etienne Daho)
Ma chanson ce n’est pas une chanson, c’est ma vie, – C’est pour toi que je veux posséder mes hivers (Gilles Vigneault)
Tout doit tendre au bon sens : mais, pour y parvenir, – Le chemin est glissant et pénible à tenir ; – Pour peu qu’on s’en écarte, aussitôt l’on se noie. – La raison pour marcher n’a souvent qu’une voie (Nicole Boileau)
Le temps nous lâche, lasse, glace et gagne toujours (Jean-Jacques Goldman)
Comme de beaux oiseaux que balancent les branches, – Dorment leur doux sommeil plein de visions blanches !… (Arthur Rimbaud)
Les vases ont des fleurs de givre, – Sous la charmille aux blancs réseaux ; – Et sur la neige on voit se suivre, – Les pas étoilés des oiseaux (Théophile Gautier)
Qui a plus de toits à plus de neige (Proverbe persan)
Mais regardez. Voici le coucher de soleil. – À l’occident plus clair court un sillon vermeil. – Sa soudaine lueur féerique nous arrose, – Et les arbres d’hiver semblent de corail rose (François Coppée)
Les premiers rayons, – Echappés de l’horizon, – Rampent, recouvrent l’eau d’or et d’ombres (Pierre Rapsat)
J’attends le soleil, – Le lever du soleil (Pierre Rapsat)
Quand le chêne est tombé, chacun se fait bûcheron (Ménandre)
Quand le feu dans l’âtre brille, il fait bon fêter la famille (Dicton français)
Mes pas dans la neige suivent tes pas (Keren Ann)
Rois d’Orient, une étoile vous éclaire
Dans les grands arbres nus que couvre le verglas – Ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège ; – De leur oeil inquiet ils regardent la neige, – Attendant jusqu’au jour la nuit qui ne vient pas (Guy de Maupassant)
Bûches de Noël
Puisse ma lettre apporter, – Vos voeux les meilleurs, réaliser, – A vous, photographes, mes amitiés, – Et visiteurs, belles choses à contempler (Monique D’haeyere)
J’ai grandi avec lui et je porte son nom, – Je l’appelle mon pays, je l’appelle ma maison, – Ma maison (France Gall)
Et froids tombent sur nous les rayons qu’elle darde, – Fantastiques lueurs qu’elle s’en va semant (Guy de Maupassant)
L’enfance c’est de croire qu’avec le sapin de Noël et trois flocons de neige toute la terre est changée (André Laurendeau)
On respire en ces bois sombres, majestueux, – Je ne sais quoi d’auguste et de religieux: – C’est sans doute l’aspect de ces lieux de mystère, – C’est leur profond silence et leur paix solitaire (Antoine-Marin Lemierre)
Beau site pour une noble vigne !
Que tu lui donnes un crayon, et l’enfant bâtit sa maison (Claude Nougaro)
Collection d’hiver
Qu’il est doux, à l’abri du toit qui me protège, – De voir à gros flocons s’amonceler la neige ! (Jacques Delille)
Le blizzard de 11h18
Le ciel est blanc et morne. Il neige ; – Et l’arbre du chemin se tord, – Sous la rafale qui l’assiège (William Chapman)
En longs manteaux, vêtus de blanc, – Les arbres se sentent à la mode, – Et trouvent cela commode, – Pour bien se protéger du vent (Christian Merveille)
Et je vous appelle, – Près d’une chapelle, – Pour y faire un vœu (Patrice et Mario)
La maison serait blanche et le jardin sonore, – De bruits d’eaux vives et d’oiseaux, – Et le lierre du mur qui regarde l’aurore, – Broderait d’ombres les rideaux (Charles Guerin)